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1957 – Première exposition à la Galerie Totti à Milan, préface de Roberto Sanesi.
Reçoit le Prix Mocchetti « Palette d’argent » au Circolo della Stampa à Milan.
Commence la céramique mais laisse presque immédiatement pour la reprendre qu’en 1990.
Avec Piero Manzoni signe le manifeste contre le prix San Fedele au nome de l’avant-garde e organise une exposition au café de la Jamaïque
1958 – Rencontre avec l’écrivain et critique d’art Giorgio Kaisserlian. Il expose à la Galerie San Fedele avec Soldini et Verga. Préface de Giorgio Kaisserlian. « La quatrième génération » texte de Enrico Crispolti sur Art Aujourd’hui, 20 décembre, Paris. Premier voyage à Paris où il rencontre Gianni Bertini qui le présente a Jean Jacques Leveque, directeur de la Galerie « Le Soleil dans la tète ». Il expose dans sa galerie.
1959 – Deuxième exposition personnelle à la « Galerie Pater » à Milan, Emilio Tadini écrit la préface. Voyage à Paris où il participe à l’exposition « Art Interplanétaire » à la galerie Le Soleil dans la Tète. A’ Bruxelles il rencontre Stella Smith, qui l’invitent à exposer dans leur galerie.
1960 – Le 8 octobre il expose a Venise à la « Galleria del Cavallino ». C’est la première exposition des empreintes ; préface de Giorgio Kaisserlian.
Le 19 octobre exposition des empreintes à Bruxelles à la Galerie Smith.
Une grande enquête de Marco Nonza sur le magazine « L’Europeo » de Milan : « La Borsa dei Pittori » commence avec une grande photo de Recalcati. L’article parle de la série d’empreintes « Une histoire de Johannesburg ». « Dernière Tendances de la Peinture » à la Galerie « Il Grattacielo » de Milan avec un texte de Giorgio Kaisserlian. Jean Jacques Lévèques lui demande d’illustrer la couverture de la revue « Sens Plastique » n° 13, Paris.
1961 – Rencontre à Milan avec Alain Jouffroy qui l’invite à participer au grand tableau collectif « Antiprocès » avec Baj, Dova, Crippa et Jean Jacques Lebel. Le tableau suscite un scandale, suivi d’un procès (tous acquitté dix ans plus tard). Luce Hoctin parle de lui dans l’article sur la Jeune Peinture Italienne. Œil n°13 Paris. Première achat du Musée d’Art Moderne de Milan. C’est un tableau exposé au Prix « San Fedele ». Rencontre avec Enrico Crispolti qui s’intéresse à son travail.
1962 – Libéré de l’armée en février , prépare un expo à la Galleria del Naviglio de Carlo Cardazzo à Milan. C’est la deuxième exposition des empreintes en Italie, préfacé par Emilio Tadini. La Galerie Smith de Bruxelles expose les empreintes le 29 novembre. Participe aussi à « Nouvelles Perspectives de la Peinture Italienne » à Bologne et « Alternative Attuali » à L’Aquila.
La Galerie Odissea de Rome achet des peintures des « empreintes ». Il est lauréat du prix de peinture « Cesare da Sesto » à Sesto Calende. Rencontre avec Dino Buzzati et naissance d’une grande amitié. Il lui consacre dans la revue « Rassegna » n° 5 Milan, un longue article.
1963 – Exposition en Janvier à la « Galleria il Punto » Turin avec un texte de Enrico Crispolti. Au début de Février il s’installe à Londres où il travaille quatre mois à une série de peintures se composent de différentes images. Il les appellerait « Racconti » ; c’est le début de la « Peinture Narrative » . A’ son retour il expose à Florence, Palazzo Strozzi dans l’exposition « Nouvelle Figuration ». Reçoit à Venise le Prix Apollinaire. Luca Scacchi Gracco organise à Londres l’exposition « Italian New Figurative » à la « Piccadilly Gallery ». Reçoit à Milan la visite de Eduardo Arroyo et du marchant Georges Detait de la Galerie « Claude Levin ». Sélectionné pour représenter l’Italie à la Biennale de Paris, il s’installe dans la capitale française.
Paul Rebeyrolle l’invité à participer au Salo de Mai, au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. A la Galerie Claude Levin il participe à l’exposition « Abattoir ». Jean Depeyrau écrit de lui dans « Quadrum » n°14, Bruxelles.
1964 – Après Milan il trouve la vie à Paris superbe. Travaille beaucoup, participe a la « Jeunes Peinture » au Salon de Mai, où expose une grande peinture d’après El Greco et Picasso. Un article de Michel Ragon polémique sur Paris publié dans le New York Times (3 janvier 1965 section X pag.19) est illustré par cette tableau sur cinq colonnes.
Participe à la grande exposition de Gand « Figuration et Défiguration de Picasso à nos jours » au Musée Schoenkunst Vor. Nouveau Réalisme et Nouvelle Figuration au Musée d’Art Moderne de l’Haye, Vienne, Berlin et Bruxelles. Il reçoit le prestigieux « Prix Lefranc » à Paris.
Commence la série des peintures collectives avec Arroyo et Aillaud.
Expose à l’historique « Biennale di Venezia » du ’64.
1965 – Mario Roncaglia est son galeriste, il lui rendre régulièrement visite a Paris, l’expose a la « Galleria il Fante di Spade » à Rome avec un texte de Antonio del Guercio et à la « Galleria Mudina » de Modena.
La « Odyssey Gallery » de New York city l’invite à exposer; la bas y rencontre Schifano, il travail dans le même hôtel ou sont rejoints par Tano Festa : ensemble vont aux matches de boxe dans le légendaire « Madison Square Garden » entièrement en bois. Schifano est un ami de Larry Rivers et ainsi il rencontre et connaisse la naissante avant-garde américaine. L’exposition an Mai à la Odyssey Gallery est un succès : articles sur « Times » 11 Juin, « New York Herald Tribune » 22 mai, « New York Times » le 29 mai où Steward Preston écrit sur lui et un des ses tableaux illustre l’article. Pendant temps à Paris Recalcati est invité à participer avec quelque jeunes peintres à l’ exposition « L’Ecole de Paris » qui à lieu à la « Galerie Charpentier » toute les année. L’exposition était dominée par l’avant-garde abstraite qui refuses d’accepter les jeunes peintres et préfère renoncer a cette tradition historique.
La Galerie Saint Germain expose « La Passion dans le Désert » d’après une nouvelle de Balzac, la préface est de Daniel Anselme. Il exposent la « Passion » au « Kunsthalle » de Lund en Suède. Le « Figaro Littéraire » publie un caricature des trois qui peignent le long du même tableau.
Participe au « Salon de Mai », « Salon de la Jeunes Peinture » au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Gerald Gassiot Talabot représente à la Galerie Creuze dan le cadre « La Figuration Narrative » la seconde série des tableaux collective peints par Arroyo, Aillaud et Recalcati « Vivre au laisser mourir ou la fin tragique de Marcel Duchamp ». Le scandale est grand. Une large groupe d’intellectuelles surréalistes signe un manifeste contre les trois auteurs. Marcel Duchamp visite l’expo et avec humour signe le livre d’or. Represante l’Italie à la « Biennale de Sao Paulo » ; expose à « Les Galeries Pilote » a Lausanne, au « Groupe 65 » Msée de l’Art Moderne de la Ville de Paris et a Bologne à l’exposition « Il Presente contestato. » Reçoit le « Prix Le Provençal » à Marseille.
1966 –La « Galerie Smith » de Bruxelles organize une expo « Recalcati sept ans à la Galerie ». A’ Paris prépare un exposition personnelle à la « Galerie Schoeller ». Le 4 Mai Salvador Dalì est au vernissage. Nuovelle exposition a Rome à la « Galleria Il Fante di Spade », preface de Gérald Gassiot Talabot.
Partecipe au « Salon de Mai », au « Salon de la Jeunes Peinture » et a la « Figuration Narrative » à Prague. Sur « Art International » un longe article de Talabot : Antonio Recalcati « Le Troisième Homme », septembre 1976. Aillaud Arroyo Recalcati à Rome à la « Galleria Il Fante di Spade », préface de Renato Barilli.
Le “Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris” achat le tableau exposé au Salon de la Jeunes Peinture.
A’ Antibes rencontre avec Jacques Prévert , ils resteront amis, et ils se rêveront régulièrement.
1967 – Il expose au Salon de la Jeunes Peinture.
Départ pour le Venezuela avec Aillaud et Arroyo où ils exposent à la «Fundacion Mendoza» Caracas. Voyage au Mexique et au New York city avant de retourner a Paris. Salon de Mai en Juin. Il retour a Milan ou il commence à préparer une exposition au « Studio Bellini » de Piero Fedeli.
En Juillet voyage à Cuba avec le groupe d’artistes et d’intellectuelles de la délégation française. Participe à un grand tableau collectif avec les artistes du Salon de Mai. En septembre, participe à la « 5e Biennale de Paris » et à : « La Bande Dessinée et la Figuration Narrative » au Musée des Arts Décoratifs » à Paris. Gérard Gassiot Talabot organise l’exposition.
Dino Buzzati lui demande de poser pour ce deviendra le célèbre livre « Poème a Bulles », adaptation moderne du mythe d’Orphée et Eurydice ; Buzzati peintre fera de Recalcati Orphée chanteur rock .
1968 – Retour à Paris.
Apres Mai 1968 part pour l’Italie et travaille a une nouvelle série des tableaux. « Biographie imaginaire 1962-1972 » dix ans ou réel et imaginaire sont mélangés comme une rêve réel-irréel.
Expose la série des tableaux en Avril 1969 à la galerie « Fante di Spade » à Rome, à la « Galleria Eunomia » à Milan et en Juin à la « Galerie Schmidt » a Paris ; exposition organisée par l’ami Michel Rachline.
1970 - En Avril expose à la « Fondazione Olivetti » à Copenhague.
En octobre nouveau séjour de travail a New York city. La nouvelle série des peintures serait un regard intime sur la vie quotidienne.
1971- Il revient à Paris avec les nouvelles peintures « Intérieur Américain ». Il peint des tableaux pour le film « Ils » de Jean Daniel Simon, qui seront exposée à la « Galerie Armand Zerbib » à Paris.
L’ami Jacques Prévert écrit un poème qui préface le catalogue de l’exposition « Intérieur Américain ».
Exposition en octobre à Rome à la « Galleria Il Fante di Spade », en novembre au « Palazzo dell’Arengario » à Milan.
1972 – Retour à Paris a la fin de janvier et expose au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris « Intérieur Américain ». Court voyage à New York city et de nouveau à Paris. Participe au « Salon de Mai » a la « Biennale di Milano ».
1973 – A’ Paris il peint une série des tableaux d’après les tableaux métaphysiques de Chirico : c’est une transgression ironique sur le grand Giorgio : les symboles métaphysiques sont transformée en objets physiques ; petit pain farci, plat de macaroni, jambon de Parme, etc. L’exposition à lieu à la « Galerie Mathias Fels » avec la préface de Alain Jouffroy. C’est un succès de critique. Le président Pompidou, envoi un fourgon de l’Elysée pour lui ramener des tableaux en vision.
1974 – Il expose à la « Galerie Jean Boghici » à Rio de Janeiro, à la « Galerie du Rhinocéros » à Paris et à la « Galleria Cavour » de Milan la « Bohème de Chirico » avec texte d’Alain Jouffroy, Gilbert Lascault et Renzo Cortina.
Réalise 31 collages pour le livre « Il Pianeta Buzzati » éditée à Milan par la « Galleria Apollinaire »
1975 – L’éditeur et ami Christian Bourgois publié le livre « Les Empreintes de Recalcati 1960-1962 ». Le texte est d’Alain Jouffroy et la mise en page est de Roman Cizlevich.
Le metteur en scène Klaus Michael Gruber lui demande de faire le décor de »Empedokles Hölderlin lesen » pour la « Schaubühne am Halleschen Ufer » Berlin. C’est le début de sa collaboration avec le théâtre.
Expose également à la Maison de la Culture de Rennes la série des tableaux inspirés par l’histoire de Topino Le Brun, peintre guillotiné pendant le régime de Napoléon le 31 janvier 1801 : cette date sera le titre de la série de peintures sur lui.
1976 – Expose à la « XXXVII Biennale di Venezia ».
La « Galerie Fred Lanzenberg » à Bruxelles exposes la série « 31 janvier 1801» le « Musée d’Ixelles » achet un grand tableau.
Exposition à la « Galerie Paul Fachetti » à Paris.
Pontus Hulten directeur du Musée National d’Art Moderne lui organise une rétrospective des ses peintures de 1960 -1962, au Centre Nationale d’Art Contemporaine, le CNAC de la Rue Berryer à Paris.
1977 – Le Centre Pompidou pendant trois mois expose la série des Peintures sur « Topino Le Brun ». L’exposition conçue par Alain Jouffroy comprend Monory, Dufour, Velickovic, Chambas, Fromanger et Recalcati. Participe à l’exposition « Mythologies Quotidiennes » au Musée de la Ville de Paris.
1978 - Participe à la « XXXVIII Biennale di Venezia » et au « Centre Pompidou » a l’exposition « Images Détournée ».
Inauguré par Gaston Deferre et Edmonde Charles Roux, l e « Musée de la Vieille Charité » à Marseille expose « Guillotine et peintures ».
Participe à l’expo « Biennale de la Critique » au « Musée d’art moderne d’Anvers » e de Charleroi.
Exposition personnelle à la « Galleria Gastaldelli » à Milan, et à la « Galleria Gissi » à Turin.
1979 – Nouvelle exposition personnelle au « Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris » ou il expose la série « Huile sur Toile » : c’est une interrogation sur la peinture, sur le moyens de la peinture, pourquoi la peinture.
Il expose les dessines et le gouaches sur le même thème à la « Galerie Nina Dausset » à Paris et participe à l’exposition « Art en France 1969-1979» au « Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris », et à « La Famille des Portraits » au Musée de Arts Décoratives » à Paris.
1980 – Fatigué de Paris, en janvier il se rend à New York city ou il reste pendant cinq ans.
La « Pierre Cardin Gallery » de New York city l’expose dans «L’Art Moderne Européenne», la « Sneed Gallery » de Rockford, Illinois dans « Petites Ouvres des Grands Artistes », le «Musée Ghinza de Tokyo » dans « 1870 – 1970 un Siècle de Paysages de France » et à New York city la « Yves Armand Gallery » l’expose avec Bonalumi.
La Fondation Maeght expose ses dessins parmi ce de la fondation dans une expo itinérante aux Etas Unis.
1982 – Alain Jouffroy est à Tokyo comme attaché culturelle. A l’occasion de la visite officielle à Tokyo du président Mitterand, le ministre de la Culture et l’attaché culturelle organisent au « Bridgestone Musée » une exposition intitulée « Figuration de Cézanne aujourd’hui » : Recalcati il est de l’expo et du voyage.
Il prend part à l’exposition « Nouvelle Figuration » à Séoul.
Retour à New York city ou il commence une série des tableaux sur les terrains de basketball dans les coins des rues newyorkais.
1985 – Retour à Paris en avril ; apporte les peintures américaine que Didier Imbert et Nello Dimeo les exposent à Paris et à la « Foire d’Art International Sima » à Venise à la « Fiac » à Paris, et à l’Hôtel de Ville en Villeurbanne.
1987 – Participe à l’exposition « A la Rencontre de Jacques Prévert ».
Il retour à Milan et il travail à un série des peintures qui ont comme sujet une promenade solitaire après un orage ; sont les souvenirs de New York city de ses trottoirs, des reflets de la ville dans les flaques d’eau.
Milan lui consacre un grande exposition rétrospective au « Palazzo Reale, Sala delle Cariatidi». L’exposition « Recalcati de l’empreinte à l’image » ira ensuite au « Museo di Roma-Palazzo Braschi ».
1988 – Commence, toute en continuent d’exposer, une longue période sans peindre et recommencera seulement en 1996.
1990 – L’Atelier de Céramique « San Giorgio » d’Albissola l’invite à faire un vase en céramique. A’ contre cœur il se rend à Albissola et de qu’il touche l’argile fraiche, il à un déclique.
Dans une année il réalise un milliaire de céramique. Sont des formes brisée, lié, torturés, étranglé, blessé.
La forme du vase à toujours été respecté peinte ré décorée mais jamais profané. Lucio Fontana qui coupe la toile enseigne.
De 1990 à 1992 les céramiques sont exposés à Milan, Paris et dans quatre musées allemand. A’ Munich l’éditeur Hirmer publie un volume « Terrakotta » en allemand, anglais et italien, sur initiative de Volker Feierabent.
En 1992 Recalcati réalise que ses maquettes en céramiques peuvent se traduire en sculptures ; les emmènes à Carrara et commence une série des marbres qu’il continue à l’atelier de Giorgio Angeli à Querceta. Utilise les marbres de différentes couleurs ; c’est une sculpture antisculpture, tout comme ses céramiques sont anticéramiques . C’est traiter le marbre comme un matériau souple, molle, flexible, apprivoisé. Il continue la céramique à Faenza à l’atelier « La Bottega dei Gatti ».
Participe avec une salle de sculptures à la Biennale de Venise 1992.
1996 – Retour à la peinture avec une série intitulée « Souvenir d’Essaouira » a la suite d’un voyage au Maroc avec l’ami Aldo Mondino.
Réalise un murales dédiée au victimes de la Shoah pour la Synagogue « Degli Argenti » à Casale Monferrato.
1999 – Il revient à Paris ou il peint la série « le nu e la mort », illustration d’un rêve fait pendant le long période passé dans la salle de réanimation.
2000 – Quitte Paris et retour à Milan.
2003 – Encore une fois back to Paris, mais le climat autour de lui à changé. Deux ans plus tard il retour à Milan et il reste. Invité par la Royal Academy de Londres à la grand exposition « Paris Capital of Arts 1900-1968 ». C’est un des cinq exposant italiens.
2006 – Il reçoit le prix « Presidente della Repubblica » proposé par l’Accademia di San Luca.
2007 – Il peint une grande toile inspirée à la « Dernière Cène » de Leonardo da Vinci.
Le tableau est présentait à la Galerie Gruppe Credito Vallellinese à Milan dans l’exposition « Le Ultime Ultime Cene ».
Exposition personnelle à l’Accademia di San Luca, intitulé « Cinq Moments de 1960 à 2006 » ; cinquante ans ont passé depuis la première expo en 1956.
Nouvelle série des tableaux d’après les empreintes de 1960 qui sera appelé « Les Empreintes Revisité ».
2010 – Exposition personelle à la “Galleria del Palazzo Coveri” à Florence “Antonio Recalcati- Sunset Boulevard”. La Galerie met en valeur la production plus récente et inédites de l’artiste.
2011 – Réalise une série de peintures inspirée au centcinquantièmme anniversaire de la naissance de l’Italie
2022 – Antonio Recalcati est décédé à Milan le 04 décembre 2022